Saviez-vous que l’amalgame dentaire contient 50 % de mercure? Le mercure s’échappe graduellement des obturations sous forme de vapeurs nocives absorbées par vos poumons puis transportées vers divers organes. Mais attention! Si vous souhaitez ou devez procéder au remplacement de vos obturations au mercure, il est important de savoir qu’en plus des risques attribuables à toute procédure dentaire, le fait de remplacer un amalgame sans une protection adéquate vous expose à une concentration de vapeurs de mercure dépassant largement les seuils sécuritaires. Au Médipôle, nous ne posons aucun plombage gris et nous vous offrons une protection élargie lorsque les obturations au mercure doivent être remplacées. Cette protection comprend, entre autres, le port de la digue dentaire, une source d’air frais sur le nez, un aspirateur à haut débit près de la bouche et un ionisateur pour purifier l’air ambiant de la clinique. La qualité de l’air est ainsi meilleure pour tous les patients présents à la clinique, qu’ils aient des amalgames ou non.

La fréquence à laquelle vous avez besoin de radiographies dépend de votre santé bucco-dentaire.

Les adultes en bonne santé, avec une bonne hygiène dentaire et avec de bonnes habitudes alimentaire n’ont pas besoin de radiographie chaque année : les radiographies sectorielles sont prises tous les deux ans, et la radiographie de l’ensemble de la bouche : la radiographie panoramique dentaire doit être prise tous les cinq ans.

En revanche, chez les adultes qui ont souvent des caries ou des problèmes de gencive des radiographies plus fréquentes sont souvent nécessaires.

La fréquence des radiographies chez les enfants est habituellement la même que chez les adultes mais certains changements morphologiques nécessitent parfois d’en prendre un peu plus souvent.

Oui bien entendu. Vous pouvez vous reportez à notre page Honoraire en cliquant ici.

Une nomenclature fixe les tarifs conventionnels pour les soins courants (détartrages, extractions, obturations, etc.), mais de nombreux soins, notamment ceux issus des dernières technologies, ne sont soumis à aucune réglementation. Il en est de même pour les prothèses et les implants, dont les tarifs sont laissés à la libre appréciation du praticien. Dans la détermination des honoraires des soins peu ou pas pris en charge par la Sécurité Sociale, le Chirurgien Dentiste tient compte plusieurs facteurs, notamment l'ampleur du traitement et son niveau de difficulté, la technologie utilisée, le lieu d'implantation de son cabinet, ses charges de fonctionnement, ses investissements matériels, ses titres, etc. Cependant, dans ce cas précis, il doit toujours informer préalablement son patient du plan de traitement envisagé et des coûts engendrés.

La périodicité des examens dépend des besoins de chaque patient et de plusieurs facteurs, notamment l'état de santé bucco-dentaire, la qualité de l'hygiène dentaire, l'état de santé général et les habitudes de vie. Les fumeurs, par exemple, doivent redoubler de vigilance et rendre visite à leur praticien régulièrement.